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Saint-Quentin-en-Yvelines | photographe visite virtuelle 3D 360
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Trappes | France
- Catégorie : Divers
- Je parle: Français
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Visites virtuelles de la Communauté d'Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.
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Habiter la ville
Musée de la ville de Saint-Quentin-en-Yvelines, Quai François Truffaut, Montigny-le-Bretonneux, France
SAINT-QUENTIN-EN-YVELINES, LA VILLE À HABITER\nLE LOGEMENT EN VILLE NOUVELLE.\n \nLa notion d’habiter renvoie, de façon générale, au rapport de l’homme avec ses lieux de vie. Elle ne se réduit donc pas à la seule action de se loger, mais celle-ci en constitue la part la plus signifiante dont tout un chacun, à quelques rares exceptions, est confronté quotidiennement. Personnalité influente du mouvement moderne, Le Corbusier disait de la maison qu’elle devait être « une machine à habiter ». Il sous-entendait par là que l’habitation doit être « réglée » de façon précise, comme le sont une voiture ou une machine à écrire, dans l’objectif de répondre\nà une fonction bien définie.\n \nAu lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France connaît une croissance démographique et urbaine sans précédent. Elle place en conséquence la question de l’habitation au cœur de la préoccupation des politiques publiques, des urbanistes, des architectes et des aménageurs publics ou privés. L’activité du bâtiment n’a en effet jamais été aussi intensive que durant la seconde moitié du 20e siècle, et en particulier en matière de logements dont le nombre double en l’espace d’un demi-siècle.\n \nCaractérisé par son statut de ville nouvelle, le territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines témoigne et participe de ce spectaculaire essor urbain entamé en fait dès les années cinquante. Pendant une cinquantaine d’années, les programmes immobiliers s’enchaînent, permettant d’accueillir près de deux cent mille nouveaux habitants. À travers une sélection de vingt quatre opérations représentatives, l’exposition retrace l’évolution de la politique du logement en France et des différentes typologies d’habitats mises en œuvre par l’État ou les promoteurs privés, des grands ensembles aux lotissements pavillonnaires, en passant par d’autres programmes expérimentaux.
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Les Allumés du design
La Commanderie, Élancourt, France
Aux fondements de notre société moderne, l’avènement de la « fée électricité » à la fin du XIXe siècle va profondément modifier l’univers de nos lieux de vie. Fin XIXéme l’américain Thomas Edison crée la lampe à incandescence et les deux petits trous que l’on trouve bientôt partout dans les murs de nos maisons sont le réceptacle d’un tas d’instruments inédits qui peuplent nos intérieurs pour mieux les chauffer, les nettoyer, les ventiler, les égayer, les servir, les éclairer. \r\nLes créateurs vont vite s’emparer de ces nouveaux objets pour leur donner une forme au service de leur fonction et de leur fabrication en série. Ils participent d’un nouvel art, celui du design industriel, qui joint l’esthétique à l’utile et qui sous-entend que l’objet ne peut pas être réduit à son simple usage. \r\nDans cette panoplie d’appareils électrifiés, le luminaire occupe une place singulière. Il est en lui-même un objet, une présence physique dotée d’une dimension quasi sculpturale, et, en même temps, il possède la capacité à changer notre perception des lieux qu’il éclaire, à créer l’ambiance nocturne de nos intérieurs, car il est avant tout source de lumière. Le défi qu’il lance à son concepteur est ainsi double. « Les Allumés du design » est axée sur les décennies des années soixante à quatre-vingt. Période faste en matière de design, elle est également caractérisée par un âge d’or du « chez soi », où s’épanouit la vie familiale et sociale.
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Agglobodies - La ville danse
La Commanderie, Élancourt, France
Cette exposition présente une série d’images photographiques, un panorama humain et urbain, mêlant les corps aux architectures.\r\nLe chorégraphe Lionel Hoche, en résidence à La Commanderie, et le photographe Jean-Christophe Bardot ont parcouru SQY selon un protocole à la fois simple et furtif. De centres commerciaux en lieux “historiques”, de parkings en quartiers d’habitation, ils ont invité des passants au mouvement. De ces rencontres est née une série d’images photographiques
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